Forum JDR post-apocalyptique dans un monde contemporain alternatif en proie aux zombies, à des créatures pires encore ainsi que des événements surnaturels.
Fiche de personnage Points de RP: (0/0) Etat Mental: (0/0) Destin: (0/0) Réputation: (0/0) Informations scénaristiques: Blessures: Tatouages: Cicatrices:
Lun 24 Oct - 19:07
Ce sujet étoffé a pour but de donner toutes les informations pertinentes qui concernent les morts-vivants, de leur comportement à leur anatomie, en passant par des suppositions qui seraient cohérentes de la part des personnages.
Il est possible que ce sujet soit l'objet de compléments, de façon à le garnir au mieux des besoins des joueurs et ne rien laisser au hasard.
- Préambule -
Avant d'évoquer le virus et les zombies en eux-mêmes, il est essentiel d'aborder un point majeur : si le virus est devenu le danger premier et occupe naturellement les esprits, de par sa virulence sans précédent, l'une des erreurs les plus fréquentes observées chez les survivants au cours des dix-huit derniers mois est le fait d'occulter les autres maux pas ou peu visibles.
En effet, les zombies en décomposition ne sont pas seulement porteurs du virus apocalyptique, ils sont également infestés de parasites, de bactéries, de champignons, de vers et virus de tous types. Aussi, une éclaboussure de sang ou un contact des chairs en putréfaction au niveau des yeux, des lèvres ou même de la peau de manière générale présente non seulement le risque d'infection par le virus zombie aux effets radicaux, mais également par d'autres créatures microscopiques et maladies dont les conséquences pourraient être plus sournoises, et catastrophiques au demeurant.
C'est l'une des raisons qui expliquent que la plupart des survivants privilégient d'éviter l'affrontement si possible, et si c'est inévitable, optent largement pour les armes à feu en dépit des ressources qu'elles exigent pour les alimenter et les entretenir. Même parmi les manieurs d'armes blanches, nombre préfèrent une arme longue ou de lancer et globalement, couvrir un maximum des parties du corps pour se préserver relève du bon sens, par beau temps comme en plein hiver.
Il y a bien des adeptes du combat rapproché, mais ils sont peu fréquents et considérés comme des audacieux, ou plutôt des inconscients, probablement instables et dangereux. Ceux qui ajoutent à cela de faibles protections et un manque flagrant de tissus sont vus comme aliénés et suicidaires : un jugement auquel le destin donne souvent raison.
- Au Sujet du Virus -
Ce qu'il y a à savoir à propos du déclenchement de la pandémie et du fonctionnement du virus est déjà évoqué dans le contexte. Nous évoquerons ici les points suivants :
- Les personnages n'ont pas connaissance d'un potentiel patient zéro, ni d'aucune origine concrète du virus. Il n'est toutefois pas impossible que des théoriciens et autres fabulateurs puissent mentir.
- Même si le personnage dispose de connaissances scientifiques au sens large, ou a fréquenté des personnes possédant ces facultés, toute étude réalisée jusqu'ici n'aura mené à rien de concret, dans l'incompréhension collective. L'étude du sang, des selles, de l'urine, des restes ou même d'un rôdeur encore « vivant » n'aura pas révélé de façon claire le plus petit indice viable à propos du mal qui a frappé le pays.
- Les personnages n'ont de ce fait, et jusqu'ici, aucun élément d'explication. Il y a pourtant bien une origine à tout cela, mais laquelle ? Serait-ce dû à un manque de matériel d'étude suffisamment avancé pour pousser la recherche ? C'est fort possible. En réalité tout l'est... possible.
- Les personnages n'ont pas connaissance d'un groupe qui aurait réussi à capturer un coureur sans l'abattre, ces spécimens étant trop violents et toxiques, il faudrait des moyens humains et matériels plus complexes que ne peut déjà le demander un rôdeur pour l'immobiliser, le transporter, le découper et l'étudier.
Equipement Porté :
Première main
Hache d'incendie (16)
Seconde main Occupée
Ceinture 2/2
Enc. 3 max
Talkie Moderne (1)
Glock 22 15C .40 (2) T.T.-EPC-SMA
Poches 2/4
Enc. 1 max
Antidouleurs (1)
Drogue douce (1)
Accessoires Pratiques :
1ères Mun. 3/3 : 9mm (2)
Tête : Casque (6)
Epaule : Occupée
Arc Flec. (10)
Torse : Plastron (18)
Dos : Sac en cuir (8)
Bras : Brassards (4)
Flancs : Holster d'EP. (4)
Beretta M-21 7C 9mm (2)
Taille : Porte-grenade (2)
Jambes : Jambières (8)
Véhicules 2/3
Vélo de ville
Clé de Fourgon Brinks 1/3 P.B.-P.T.-R.F.-SIR
Contenants Personnels :
Dos 19/20
Sac en cuir
Lampe dynamo (1)
Caméra portative (2)
Grappin (8)
Console technologique (8)
Taille 3/5
Porte-grenades
Molotov 2/3 (3)
Coffre 122/5000
Camion Porteur
Tente tipi (45)
Poste Radio (10)
Sirène (35)
Bouclier balistique (32)
Fiche de personnage Points de RP: (0/0) Etat Mental: (0/0) Destin: (0/0) Réputation: (0/0) Informations scénaristiques: Blessures: Tatouages: Cicatrices:
Lun 24 Oct - 19:08
- L'Anatomie des Zombies -
Les rôdeurs correspondent au « living dead » classique, lent et dénué d'intelligence. Ils répondent aux caractéristiques suivantes :
- Les rôdeurs présentent tous, à notre ère, une morphologie adulte ou adolescente, pas moins d'environ 14 ou 15 ans. Il faut savoir que les zombies n'infectent pas pour infecter, ils tuent et se nourrissent sans raisonnabilité. Ainsi, il est compréhensible que les personnes vulnérables, de par leur jeune âge ou des handicaps divers, aient été en grande majorité massacrées.
- S'il n'est possible de se transformer qu'en ayant été mordu, griffé, ou infecté par du sang ou de la chair contaminée, comment est-ce possible qu'il y ait autant de morts-vivants qui infestent l'état ? Pourquoi n'y aurait-il pas d'enfants alors qu'ils représentaient une part importante de la population ? N'est-il pas possible que des enfants ou des personnes vulnérables aient pu être infectés par ingestion ou éclaboussure sans avoir été achevés, et ainsi seraient devenus des zombies ? Pourquoi alors n'y en a-t-il plus du tout de nos jours ? Autant de questions légitimes dont les personnages n'ont pas les réponses.
- Leur état de décomposition est pour le moins non naturel : elle est bloquée à un certain niveau, ce qui fait qu'ils continuent d'exister alors qu'ils devraient être, pour la plupart, un tas d'os depuis longtemps. Ils sont décharnés, en putréfaction, mais tout porte à croire que, pour une raison ou une autre, leur déliquescence est interrompue par le virus. Les personnages peuvent de ce fait, même sans être des scientifiques, s'alarmer sur l'incohérence de la chose.
- Leurs organes sont par ailleurs morts également : seule une partie indéterminée de leur cerveau reste active, probablement celle qui régit les instincts primaires. Or, ils ne devraient pas être capables de se déplacer ni même de mouvoir leurs membres faisandés. C'est aberrant à tous les niveaux.
- Les zombies répondent à un instinct primaire simple : le besoin de se nourrir. Seulement, ce besoin même est tout aussi incohérent que le reste, puisque toutes les courroies de maintien de l'être vivant sont obsolètes. Ils dévorent ainsi la chair et se remplissent l'estomac sans que cela soit d'un quelconque intérêt.
- Un rôdeur va se nourrir sans avoir conscience de cette inutilité, ou d'une limite quelconque, et ce, jusqu'à ce que son estomac soit exagérément gonflé, au point de laisser la chair sortir par ses orifices inférieurs et, potentiellement, par des trous dans son estomac. Un zombie dont l'estomac est ouvert va manger sans s'arrêter et permettre à la matière de s'échapper par les « accès » évidents, sans avoir conscience de quoi que ce soit. Sa bêtise pourrait même le pousser, dans ce cas invraisemblable, à réingérer la matière tant qu'elle est fraîche.
- Un zombie à l'estomac encore fermé, s'il est reput, ne va pas digérer la chair, et se retrouvera trop chargé pour pouvoir se déplacer. Il va donc rester sur place, affaissé et s'il voit une nouvelle proie, agiter ses membres dans le désir de l'atteindre sans pouvoir le faire. Il est donc quasiment inoffensif. La chair ingurgitée va se décomposer dans son estomac jusqu'à se dissoudre complètement, sans que l'organe du dévoreur n'ait eu aucun rôle dans le processus.
- Un zombie est l'objet d'un stade de déliquescence concret, mais plus ou moins avancé : certains seront plus faisandés que d'autres et dans un état de destruction physique variable. Ils continueront pourtant d'utiliser les membres encore suffisamment « en état » pour s'animer. Dès lors que le cerveau subsiste, le reste va s'obstiner dans la mesure du possible au niveau primaire. Ils continuent évidemment de répondre à la gravité et aux forces de l'environnement, néanmoins, leur fonctionnement interne paraît absurde.
- La nature surnaturelle du mal qui anime les morts-vivants peut être logiquement pensée, tant tout cela n'a pas de sens. De façon globale, ne considérez pas qu'un élément de RP est une facilité scénaristique : faites raisonner vos personnages de façon logique - dans tout ce que ça pourrait avoir d'illogique, et dans tous les cas de figure, sans exception.
- Les coureurs sont différents : ils sont davantage en vie, et se rapprochent plus d'infectés que de morts-vivants. Pour cause, leurs organes continuent de fonctionner et leur constitution répond à la mécanique organique naturelle. Il n'est donc pas rare de trouver, sur eux ou sur leur passage, des déjections molles ou liquides - froides ou chaudes, s'apparentant à de la diarrhée, ainsi que de l'urine. C'est un élément qui peut permettre, pour un survivant expérimenté, de supposer du passage ou de la présence de ce type de spécimen.
- Si l'on tranche ou découpe un coureur, chose difficile à accomplir pour un spécimen solide, il va saigner comme un être humain - en plus des pertes de sang continues qui le démarquent des rôdeurs. En revanche, abîmer ou détruire un organe n'aura pas plus d'effet que sur un rôdeur : il l'ignorera, et de nouveau, la logique est mise à l'épreuve. Démembrer ou abîmer le corps et les organes d'un coureur, si c'est un exercice très éprouvant, peut à terme - dès lors que la destruction est suffisamment avancée - réduire drastiquement le danger d'un coureur, qui s'apparentera presque à un rôdeur et commencera à pourrir de la même manière, jusqu'à s'y confondre.
Equipement Porté :
Première main
Hache d'incendie (16)
Seconde main Occupée
Ceinture 2/2
Enc. 3 max
Talkie Moderne (1)
Glock 22 15C .40 (2) T.T.-EPC-SMA
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Enc. 1 max
Antidouleurs (1)
Drogue douce (1)
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Tête : Casque (6)
Epaule : Occupée
Arc Flec. (10)
Torse : Plastron (18)
Dos : Sac en cuir (8)
Bras : Brassards (4)
Flancs : Holster d'EP. (4)
Beretta M-21 7C 9mm (2)
Taille : Porte-grenade (2)
Jambes : Jambières (8)
Véhicules 2/3
Vélo de ville
Clé de Fourgon Brinks 1/3 P.B.-P.T.-R.F.-SIR
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Dos 19/20
Sac en cuir
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Caméra portative (2)
Grappin (8)
Console technologique (8)
Taille 3/5
Porte-grenades
Molotov 2/3 (3)
Coffre 122/5000
Camion Porteur
Tente tipi (45)
Poste Radio (10)
Sirène (35)
Bouclier balistique (32)
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Lun 24 Oct - 19:08
- Le Comportement Spécifique des Rôdeurs -
Malgré tout ce que leur existence présente d'illogique, leur comportement a en revanche une logique qui peut donner matière, avec l'expérience, à prévenir leurs actes et réactions.
- En termes de sens, le rôdeur de base dispose toujours, de façon sûre, de l'ouïe, de la vue et, si la partie adéquate n'est pas trop abîmée, de l'odorat. Des trois sens évoqués, le niveau est semblable à celui d'un être humain. Nul ne sait en revanche si le goût et le toucher sont toujours présents.
- Toutefois, cela ne change pas grand-chose, car un rôdeur répond à un ordre d'intérêt précis : ce qu'il voit prend l'ascendant sur ce qu'il entend, et ce qu'il sent n'a pas d'importance. Le mort-vivant standard est probablement trop idiot pour analyser les odeurs, de ce fait, seuls de forts saignements et une proximité très importante peuvent permettre à ce sens de l'orienter vers une proie, ce qui implique, comme expliqué, une totale absence de subtilité ou de nuance en la matière.
- Lorsqu'un rôdeur entend un bruit, quel qu'il soit, il va s'orienter dans sa direction tant qu'il n'a pas de proie en vue, dans l'espoir probable d'y trouver ce qu'il cherche ; et il ne recherche rien d'autre que de quoi satisfaire sa faim aussi insatiable qu'inutile.
- Si un rôdeur a une proie vivante dans son champ de vision, il va se focaliser dessus et n'aura plus aucun intérêt pour quoi que ce soit d'autre : une explosion de grande ampleur pourrait avoir lieu tout près que cela ne ferait que le perturber physiquement et le distraire brièvement, tout au plus. Sa pensée, quelle que soit la dimension qu'un tel terme peut avoir pour un non mort, ne le détournera pas de sa proie, à moins qu'une autre proie ne se manifeste plus près de lui.
- Si sa proie échappe à sa vue, il va continuer de se déplacer dans la direction où il l'a vue/aperçue, et errera dans les alentours dans l'espoir de mettre la main dessus.
- Si un rôdeur a de quoi se nourrir, il va ignorer toute autre proie potentielle. Même si un survivant ou un animal passe à quelques mètres de lui, que le rôdeur l'ait vu, voire lui ait accordé un regard, il retournera à son repas tant qu'il ne l'a pas terminé. La seule manière de l'interrompre serait de s'approcher tout près de lui, seulement alors, le rôdeur va chercher à s'en saisir afin d'ajouter sans trop d'effort un autre repas à son festin.
- L'attaquer au corps à corps appellera évidemment à une réaction défensive de sa part et le poussera à se focaliser sur son agresseur pour le dévorer à son tour, oubliant son repas précédent, aussi récent soit-il. Lui tirer dessus ailleurs qu'à la tête n'aura à l'inverse aucun effet : le rôdeur ne ressent pas la douleur et se moque éperdument de son intégrité physique. S'il peut être - éventuellement - distrait par ces pénétrations métalliques dans son corps, il ne s'en formalisera pas plus et continuera de se nourrir.
- Le seul intérêt d'un rôdeur est de se nourrir de chair fraîche. S'il en a à disposition, pourquoi s'embêter à courir après une autre proie en laissant un repas derrière lui ? Même eux ne sont pas aussi stupides !
- Le Comportement Spécifique des Coureurs -
- La donne change en ce qui concerne les coureurs : ils bénéficient toujours et exploitent leurs cinq sens pour traquer et dénicher des proies. Ils possèdent une intelligence animale qui leur permet d'orienter leur chasse aussi bien aux odeurs qu'à l'ouïe ou la vue. Des traces de sang, une forte transpiration, des selles... tout ce qui peut leur donner matière à trouver une proie, ils sauront l'interpréter et n'hésiteront pas à parcourir des centaines de mètres, voire davantage pour trouver de quoi se nourrir.
- À l'instar d'un animal, le bruit peut les distraire, ne serait-ce que pour prévenir une menace pour eux-mêmes, cependant, ils sont assez intelligents pour ne pas laisser une proie bêtement filer. Comme pour un rôdeur, si une autre proie se manifeste plus près, ils se détourneront de leur premier choix, sinon, c'est peine perdue pour leur faire lâcher prise et contrairement à leurs homologues simplets, sortir de leur champ de vision et se cacher ne sera pas toujours suffisant pour leur échapper.
- Les coureurs ont à leur avantage, supérieur à celui d'un animal en général, les pouces opposables : ils savent grimper, ouvrir, manipuler et s'accrocher. Ils n'ont pas l'intelligence nécessaire pour utiliser des objets, des armes ou mettre en place des stratégies complexes, ceci étant, les méthodes habituelles pour tenir en respect les rôdeurs ne suffiront pas.
- On ne sait pas si les coureurs ressentent de la douleur. Ils n'en souffrent pas, c'est certain. Toutefois, si on les attaque au corps à corps ou à distance, ils répondront agressivement et ne reculeront pas devant leur proie désignée. Ils pourront tout de même chercher à plus ou moins éviter la menace, en se jetant sur le côté en cas de tirs - ce qui ne constitue pas une véritable esquive, en progressant ou en contournant leur proie plutôt que de charger de front si la réponse est très armée, ou en tentant des mouvements d'évitement de proximité face à une arme blanche. Cet aspect est assez nébuleux et peut donner matière à s'interroger - encore plus qu'avec les rôdeurs.
- Un coureur n'abandonne jamais une chasse : lui échapper ou le fait qu'il trouve une autre proie plus près sont les seules manières d'éviter l'affrontement avec ce type de spécimen.
- Les coureurs ont une férocité incontrôlable : même s'ils ont de quoi se nourrir à disposition, leur instinct de chasse sera le plus fort en cas de nouvelle proie qu'ils apercevraient, même de loin. Ils sont en cela à l'opposé des rôdeurs. Est-ce que cela voudrait dire que leur intelligence les pousse à privilégier le fait de chasser et de tuer à celui de se nourrir en soi ? Seraient-ils sadiques ? Ce sont des questions à se poser. Phénomène intéressant : s'ils perdent une proie ou sont parvenus à la dévorer, ils reviendront en général sur les lieux de leur précédent repas, sauf distraction annexe.
- Phénomène le plus fascinant : les coureurs sont capables de se battre pour une proie. Ils peuvent « s'arranger » s'il y a plusieurs corps à dévorer, mais il n'y a pas de cohésion ou de passivité totale entre eux à la différence des rôdeurs, et s'ils s'ignorent les uns les autres, se disputer une récompense de chair est possible dans le cas où ils tenteraient de s'en emparer en même temps. Un tel conflit se conclut toujours de la même manière : l'un des deux parvient à repousser l'autre, sans le tuer, et le perdant s'éloigne frustré, abandonnant la proie.
- Les coureurs ne sont guère gênés par le fait de partager une proie avec des rôdeurs qui rejoindraient le repas, aussi étrange que ça paraisse étant donné leur faculté à se battre entre coureurs.
- Même en cas d'affrontement entre eux, le seul fait d'être attirés par une proie potentielle va immédiatement faire cesser le conflit et ils se lanceront ensemble dans la chasse, en ignorant collectivement la proie pour laquelle ils se disputaient pourtant.
- Autrement, si un coureur ou des rôdeurs ont déjà saisi la proie, le coureur arrivé après ne cherchera pas à s'en emparer ni partager, et s'éloignera simplement à la recherche d'une nouvelle victime.
- Les coureurs sont des loups solitaires, ils sont rarement proches d'autres coureurs et les ignorent ostensiblement, préférant se mêler aux simples rôdeurs et imiter leur nonchalance.
Equipement Porté :
Première main
Hache d'incendie (16)
Seconde main Occupée
Ceinture 2/2
Enc. 3 max
Talkie Moderne (1)
Glock 22 15C .40 (2) T.T.-EPC-SMA
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Drogue douce (1)
Accessoires Pratiques :
1ères Mun. 3/3 : 9mm (2)
Tête : Casque (6)
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Torse : Plastron (18)
Dos : Sac en cuir (8)
Bras : Brassards (4)
Flancs : Holster d'EP. (4)
Beretta M-21 7C 9mm (2)
Taille : Porte-grenade (2)
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Dos 19/20
Sac en cuir
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Lun 24 Oct - 19:08
- Le Phénomène des Hordes -
Tout d'abord, il est important de dissocier les coureurs des hordes : les coureurs ne forment jamais de groupe, même à petite échelle. Ce sont donc des loups solitaires et les rôdeurs n'ont d'intérêt pour eux que de compagnie passive ou pour se dissimuler, afin d'approcher une proie avec ruse. À l'inverse, les rôdeurs les considèrent probablement comme des semblables et sont passifs à leur égard.
- Il n'y a pas de taille minimale aux groupes formés par les rôdeurs, bien qu'ils apprécient, pour une obscure raison, s'agglomérer à plusieurs dizaines ou centaines. Les hordes de milliers de spécimens existent, mais sont plus rares. On n’a pas encore constaté de horde de dizaines ou de centaines de milliers de rôdeurs, et fort heureusement, sans quoi, l'humanité s'éteindrait pour de bon.
- Lorsqu'ils sont en horde, les rôdeurs entrent en symbiose telle une ruche : ils sont une entité collective. Ils se suivent facilement et semblent s'accorder sur une proie commune. Un seul survivant peut attirer toute une horde à sa poursuite. L'apparition d'autres proies, ou de diversions auditives dans d'autres directions, peut détacher des spécimens isolés, voire scinder la horde. Cependant, il n'est pas si aisé de dissoudre une horde et il arrive que les dissidents se lassent d'une distraction pour s'agglomérer de nouveau au groupe. Toute explication échappe aux vivants quant à ce phénomène, aussi effrayant que captivant.
- Les seuls spécimens qui peuvent se détacher facilement d'une horde sont les coureurs, qui sont des éléments étrangers à cette entité, seulement dissimulés par intérêt.
- Lorsqu'ils forment une horde, les rôdeurs se galvanisent : ils sont capables de parcourir de très grandes distances et leur lenteur est comme amoindrie, car ils sont plus vifs, plus motivés et plus hargneux. La horde a un effet de renforcement de tous les instincts et les atouts des rôdeurs, jusque dans leur faculté à encaisser les assauts et dans la solidité de leur poigne si, par malheur, une victime se retrouve agrippée.
- Les hordes peuvent avoir un objectif territorial contradictoire : certaines vont migrer plus ou moins au hasard (difficile à dire) et potentiellement à travers tout l'état, mais d'autres vont rester dans un quartier, une ville, pour l'infester, sans jamais vraiment chercher à la quitter. C'est notamment le cas des plus grandes hordes de milliers de spécimens qui vont occuper une partie d'une ville et même d'une mégalopole tels des conquérants gardant jalousement leur territoire. Des distractions sonores ou visuelles importantes peuvent attirer une partie d'entre eux à des centaines de mètres de leur territoire, et même un peu plus, néanmoins, ils finissent pour la plupart - si ce n'est tous - par revenir à leur point de départ.
- Les murs de l'état sont infestés sur des kilomètres à la ronde de morts-vivants qui s'y entassent. On suppose qu'il peut s'agir de très nombreuses hordes qui s'attirent pour une raison qui échappe aux vivants, à moins que quelque chose aux frontières ne soit à l'origine de la création de hordes gigantesques dont on craint qu'elles s'orientent vers l'intérieur de l'état. Toujours est-il que ces occupants réagissent à l'instar des hordes territoriales et ne s'éloignent pas ou peu, donnant peu d'espoir au fait que ces frontières soient libérées un jour.
- Il est fréquent que des rôdeurs se séparent individuellement d'une horde, et que d'autres viennent les renforcer. Parfois, des hordes se divisent et en forment d'autres et dans de plus rares cas, une horde va se dissoudre d'elle-même et s'éparpiller. Il n'y a pas de fonctionnement logique et déterminé qui puisse permettre d'étudier ces phénomènes jusqu'ici, ce qui est certain en revanche, c'est que la nature des rôdeurs semble favoriser la préservation des hordes plutôt que l'inverse.
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