Le 9 × 19 mm Parabellum est un calibre de cartouche destiné aux pistolets semi-automatiques introduit en 1902 sur les pistolets Luger. Il est parfois nommé 9 mm Para ou encore 9 mm Luger.

Sa dénomination métrique est 9×19 mm. Adoptée en tant que cartouche officielle par la marine impériale allemande dès 1904, la cartouche de 9 mm Parabellum deviendra le standard dans l'armée allemande quatre ans plus tard avec le P08.

C'est à ce jour le calibre d'arme de poing le plus largement répandu au monde. La Parabellum dérive son nom de la devise latine « Si vis pacem, para bellum » : si tu veux la paix, prépare la guerre.

Le 5,56 mm OTAN ou 5,56 × 45 mm, normalisé dans le STANAG 4172, est un type de cartouche pour fusils d'assaut. Le terme « 5,56 OTAN » est l’appellation militaire normalisée de la munition civile .223 Remington.

Il s'agit d'un calibre standard parmi les forces armées de l'Otan ainsi que celles d'autres pays non membres. Bien que d'un calibre plus petit et d'une puissance inférieure à d'autres munitions de fusil, le 5,56 OTAN présente une capacité de destruction considérable.

Le .40 S&W est un calibre de cartouche développé conjointement par les fabricants d'armes américains Smith & Wesson et Winchester à la fin des années 1980.

Cette munition est principalement employée aux États-Unis par les forces de l'ordre qui l'ont adoptée à l'initiative du FBI.

Elle utilise des balles d'un diamètre de 0.40 pouce (soit 40 centièmes de pouce) d'un poids variant de 105 à 200 grains (6,8 à 13,0 g). Elle ne porte aucune désignation métrique officielle, mais elle est parfois appelée 10 × 22 mm.

Cette nouvelle munition a connu un rapide succès en Amérique du Nord, notamment avec le Glock 22 lancé en 1990, qui est le pistolet le plus répandu chez les policiers des États-Unis.

La compacité relative de la munition permit aux fabricants d'armes chambrées en 9 mm Parabellum de proposer à peu de frais des versions de leurs modèles en calibre .40 S&W, au prix d'une capacité de chargeur légèrement réduite.

Le .45 ACP (Automatic Colt Pistol) ou .45 Auto, ou encore 11,43, est un calibre de cartouche développé par John Browning en 1904 pour son prototype de pistolet semi-automatique .45.

Cette munition est surtout employée aux États-Unis où elle constitue une solide tradition. De nombreux pistolets et quelques pistolets mitrailleurs sont chambrés pour cette munition.

Cette munition est également tirée dans quelques revolvers à l'aide de clips, notamment les Smith & Wesson M1917 et 625.

Carquois inclus.

C’est évidemment le plus ancien des projectiles utilisés en archerie. On trouve de nombreuses essences de bois mais la plus populaire est le cèdre car elle est à la fois légère et résistante.

Le fût en bois est essentiellement destiné à l’archerie traditionnelle utilisant les arcs en bois du type Longbow ou Recurve.

Le bois trouve son intérêt tout d’abord dans l’esthétisme (il permet de réaliser des flèches personnalisées) et dans son faible coût (si on effectue le montage soi-même).

La flèche en bois, de par son poids supérieur aux autres types de fûts et par le fait qu’elle est en matériaux pleins, réduit considérablement le bruit (de l’arc et de la résonance à la décoche).

La flèche en bois a cependant une fragilité. Son utilisation sera réservée aux tirs traditionnels tels les tirs nature ou 3D.

Carquois inclus.

Le carreau, ou trait, est le projectile utilisé avec une arbalète dont le fer pyramidal à quatre pans a une base carrée.

Plus court (environ 30 cm) que la flèche et également plus lourd, il a un empennage réduit, fait de cuir ou de parchemin.

Ces caractéristiques traduisent un usage en tir tendu dont l'objectif est de pénétrer les armures, pour lequel les qualités balistiques (de masse et de forme) du carreau sont excellentes.

La munition 7,62 × 51 mm OTAN (nomenclature officielle OTAN « 7.62 NATO ») est une munition pour fusil développée dans les années 1950 comme standard pour les armes de petit calibre entre les pays de l'OTAN.

En 1954, sous l'influence des États-Unis, l'OTAN adopte cette nouvelle munition pour les fusils d'assaut et fusils mitrailleurs. Dans les pays anglo-saxons, cette munition est également appelée « 7,62 N », « 7,62 mm NATO » ou même « .308 Win ».

La munition intermédiaire de 7,62 × 39 mm M43 (pour Modèle 1943) connaît depuis les années 1950 une diffusion mondiale car elle est tirée par le célèbre et commun fusil d'assaut AK-47.

Il s'agit d'une munition soviétique composée d'une balle d'un calibre de 7,62 mm, montée sur un étui de 39 mm de longueur d’où la dénomination 7,62 × 39 mm.

Le .357 Magnum est un calibre de cartouche essentiellement employé pour les revolvers, de rares fois dans des pistolets et plus fréquemment dans des carabines.

Sa désignation métrique est 9 x 33 mm R, il est doté d'un étui à bourrelet qui le rend difficile à chambrer dans une arme à rechargement automatique.

Créé par Elmer Keith et le constructeur d'armes à feu Smith & Wesson, il est extrapolé à partir du .38 Special.

Le .357 Magnum a été introduit en 1934 et a connu une diffusion de plus en plus large. Son nom est inspiré du format des bouteilles, il s'agit en effet d'une .38 Special dont l'étui a été allongé.

La cartouche .44 Magnum a un calibre réel de 10,92 millimètres et sa désignation métrique est 11 × 33 mm R.

Sa particularité, héritée de la cartouche .44-40 Winchester, est de pouvoir être tirée dans un revolver comme dans une carabine, ainsi que dans quelques pistolets semi-automatiques.

On peut utiliser la cartouche de .44 Special (qui est la munition dont elle est issue) dans les revolvers chambrant la .44 Magnum.

Le calibre 12 est la plus courante des munitions employées pour les fusils de chasse.

Le nombre 12 correspond au nombre de sphères, de même diamètre que l'âme du canon, que l'on peut faire avec une livre anglaise de plomb.

Cette masse variait selon la région et parfois l'époque, mais était d'environ 453,6 grammes.

Le diamètre intérieur des canons des armes chambrées en calibre 12 est de 18,5 mm.

Carquois inclus.

Solides, indéformables, elles sont plus légères que celle en aluminium, de par leurs compositions et leurs diamètres, et donc plus rapides. Elles peuvent être utilisées de l'initiation à la compétition.

Ce type de munition, de construction régulière, est exceptionnellement durable. Il est possible d’utiliser du lubrifiant pour flèche ou de l’eau pour les nettoyer car elles garderont des traces de colle et paille laissées par les stramits à haute densité.

Pour les longues distances (extérieur ou tirs de parcours), il y a lieu de préférer un tube léger comme celui en carbone, de faible diamètre et empenné de plumes courtes.

Selon les prescriptions du constructeur lors de son utilisation avec un arc traditionnel, trop léger, il absorbera moins d’énergie à la décoche au détriment de l’arc (il existe cependant des flèches carbone plus lourdes).

L’inscription sur le tube (5,9/420 par exemple) correspond au diamètre extérieur du fût en millimètres pour le premier chiffre et au spine (déflexion du fût en 1000ème de pouce) pour le second chiffre.

Carquois inclus.

Les traits désignent aussi les flèches d’arbalète, aussi appelés carreaux d’arbalète.

Le choix du projectile est déterminant pour obtenir une arme de jet performante. Pour du tir de loisir, de l’entrainement ou de la chasse, les carreaux d’arbalètes satisferont tous les besoins en armement.

Ces carreaux sont destinés à des armes puissantes comme des arbalètes de chasse (matériel de chasse). Les meilleures carreaux d’arbalète sont en carbone (carbon) pour une meilleure vélocité.

Fabriquées par un artificier compétent, les balles artisanales constituent un assortiment de calibres proches du 9 mm, du .357 Magnum, du .44 magnum, du calibre 12 ou du 5,56 mm.

Fabriquées à partir de douilles abandonnées et surtout de moulages personnalisés, ces balles sont adaptées pour des armes artisanales, permettant de s'affranchir des armes à feu de pointe issues du marché professionnel qui aujourd'hui n'existe plus.

Une alternative plus sommaire mais efficace, qui dans le cas de telles armes n'en retirent pas tant la dangerosité car une balle, même de qualité relative, conserve un fort potentiel meurtrier.

Ces fusées éclairantes colorées seront idéales pour la signalisation en cas de détresse à une grande portée de nuit comme de jour, et plus particulièrement par temps de brouillard.

Elles s'adaptent au Pistolet de Détresse (PDD). 

Les munitions en caoutchouc sont des projectiles en caoutchouc ou recouverts de caoutchouc utilisées à l'aide d'armes à feu à tir non-létal, dont des armes anti-émeutes (lance-grenades ou Flashball) comme alternative aux projectiles métalliques.

Comme pour d'autres projectiles faits à l'aide de plastique, elles peuvent être utilisées pour les pratiques de tirs à courte distance et pour le contrôle animalier.

De telles munitions sont conçues pour causer de la douleur sans toutefois causer de graves blessures. Elles produisent généralement des contusions, des abrasions et des hématomes.

Attention : toucher une zone du corps sensible peut tout de même entraîner de sévères dommages.

Munition qui s'adapte sur les armes tranquillisantes.

Fléchettes équipées de réservoirs d'anesthésiques à décharge rapide, capable de transpercer une armure légère ou une peau épaisse.

L'anesthésique contenu dans ses munitions provoque presque immédiatement l'engourdissement et l'inconscience, mais est sans effet sur les cibles non vivantes.

Ogives à utiliser dans les lances grenades à grenades légères, leur particularité est la libération d'un fumigène à l'expédition de l'ogive et permet d'être expulsée à plus de 100m de distance. Le déclenchement se fait au moment de l'expédition de la grenade, le gaz dure environ 30 sec.

Son fonctionnement est simple, mettez la grenade dans le lanceur, tirez.

Leur enveloppe en mousse polyuréthane dense est sans danger et ne provoque aucun dégagement de flamme. Elles peuvent être utilisées en bâtiment comme en forêt.

Modèle de flèches ou carreaux qui s'adapte sur les armes de Classe 21 ou 22 au choix.

Des tridents 5 pointes très faciles à fixer sur des flèches ou des carreaux à vis (filetage M7).

Il s'agit d'un pack de munitions déjà préparées sur des flèches ou des carreaux afin d'augmenter les dégâts d'impacts.

Modèle de munition qui s'adapte sur les armes de Classe 2 à 10 en remplacement du modèle standard.

La balle dum-dum est une balle qui perd un maximum d'énergie au contact de sa cible, afin de maximiser les dégâts.

Il s'agit d'une balle de plomb recouverte d'une fine couche de nickel striée de petites fentes. Le choc sur un corps fait éclater la chemise de la balle qui se déforme selon les stries et éclate même parfois.

Ce comportement permet à la balle de creuser une cavité d'un diamètre supérieur dans les tissus et de faire éclater les os plutôt que de glisser contre eux. En cas d'éclatement, les dommages aux tissus sont beaucoup plus importants.

Modèle de flèches ou carreaux qui s'adapte sur les armes de Classe 21 ou 22 au choix.

Équipées sur un fut en carbone et portant un jeu de double lames, ces dernières s'ouvrent automatiquement lorsqu'elles frappent la proie dès que la pointe pénètre la chaire, lacérant ainsi les organes de l'intérieur et empêchant une extraction par traction sans endommager davantage la cible touchée.

Modèle de munition qui s'adapte sur les armes de Classe 2 à 10 en remplacement du modèle standard.

À la base de la balle se trouve un réservoir contenant du mercure qui éclate à l'impact, augmentant l'expansion de la balle et répandant le mercure dans la blessure.

Outre les dégâts directs causés par les débris de métal traversant la chair, le mercure est hautement toxique et cause un empoisonnement.

Cet effet n'est valable que sur les cibles vivantes.

Modèle de munition qui s'adapte sur les armes de Classe 2 ou 4 en remplacement du modèle standard.

Le phosphore blanc (aussi appelé phosphore jaune) est un solide blanc extrêmement inflammable et aux vapeurs corrosives.

Ces munitions terrifiantes font fondre la cible de l'intérieur, à cause de la concentration d'acide. La souffrance engendrée en fait l'une des munitions les plus meurtrières et les plus immorales qui soient. Pour plus d'explications :

Après combustion, il absorbe l'humidité de l'air et des tissus vivants pour former de l'acide phosphorique, dont résulte (lors de l'utilisation de bombes) une dissolution des tissus vivants (composés majoritairement d'eau).

C'est un explosif, mais ses capacités incendiaires (cœur de l'explosion) sont nettement supérieures au napalm, le phosphore qui ne brûle pas s'échappe sous la forme d'un nuage corrosif, ce qui le classe dans la catégorie des armes chimiques.

Lors d'utilisations offensives, les concentrations de phosphore sont si élevées que le nuage blanc en question est souvent beaucoup plus meurtrier que l'explosion.

Modèle de munition qui s'adapte sur les armes de Classe 6 ou 10 en remplacement du modèle standard.

Le phosphore blanc (aussi appelé phosphore jaune) est un solide blanc extrêmement inflammable et aux vapeurs corrosives.

Ces munitions terrifiantes font fondre la cible de l'intérieur, à cause de la concentration d'acide. La souffrance engendrée en fait l'une des munitions les plus meurtrières et les plus immorales qui soient. Pour plus d'explications :

Après combustion, il absorbe l'humidité de l'air et des tissus vivants pour former de l'acide phosphorique, dont résulte (lors de l'utilisation de bombes) une dissolution des tissus vivants (composés majoritairement d'eau).

C'est un explosif, mais ses capacités incendiaires (cœur de l'explosion) sont nettement supérieures au napalm, le phosphore qui ne brûle pas s'échappe sous la forme d'un nuage corrosif, ce qui le classe dans la catégorie des armes chimiques.

Lors d'utilisations offensives, les concentrations de phosphore sont si élevées que le nuage blanc en question est souvent beaucoup plus meurtrier que l'explosion.

La cartouche de 12,7 × 99 mm OTAN (également appelée .50 BMG pour « Browning Machine Gun ») est une munition de mitrailleuse lourde et de fusil de précision utilisée par les forces de l'OTAN.

Cette munition a été conçue pendant la Première Guerre mondiale par John Browning pour un projet d'arme antiaérienne.

Il s'agit d'une version agrandie de la .30-06 Springfield ; la mitrailleuse destinée à la tirer est une mise à l'échelle de la M1919/M1917 également conçue par Browning au début du xxe siècle et se nomme M2.

La .50 BMG présente une capacité de pénétration, une portée et une précision supérieures aux munitions des mitrailleuses moyennes et légères.

Essentiellement tirée depuis la Browning M2, elle a été conservée comme munition standard pour les armées de l'OTAN.

Une munition unique à charge creuse destinée pour l'usage du M136 ou du RPG-7.

Elle permet de percer les blindages les plus solides, lors de l'impact, et donc de l'explosion de la charge explosive, la feuille de cuivre va fondre.

En même temps, la puissance de la charge va retourner le cône inversé par sa pointe, créant ainsi un jet de métal en fusion qui est projeté contre le blindage.

Ce puissant jet de métal en fusion va heurter le blindage en un seul point, concentrant ainsi toute sa puissance. Le blindage va alors fondre en ce point, permettant au jet de le traverser et de tuer ceux qui se trouvent dans sa trajectoire.

Le déclenchement d'une charge creuse fait subir de gros dégâts à un blindage, qui est généralement transpercé dans le cas d'un impact suivant une trajectoire perpendiculaire à son plan.

La puissance concentrée de l'explosion, si celle-ci parvient à percer le blindage, projette une gerbe de métal en fusion et de gaz brûlants à l'intérieur du véhicule.

Conséquence qui, en fonction de l'impact, abouti à un K-kill (« destruction de l'équipage ») et bien souvent met le feu aux munitions stockées à bord du véhicule avec un résultat encore plus dévastateur.

Cette boite de munition comporte des grenades spécialement prévues pour l’usage d'un lance grenade à main.

Si elles font moins de dégâts et dans un plus petit rayon que leurs homologues lourdes, leur utilisation est plus pratique et plus polyvalente à diverses situations de combat.

La grenade lourde ressemble à une grosse cartouche qui comporte une douille et un projectile.

La grenade étant particulièrement lourde pour être tirée d'une arme légère, elle doit être propulsée à une allure modérée par un système de haute/basse pression.

La douille comprend ainsi une capsule dans laquelle la poudre est contenue.

Quand le tir est déclenché, les gaz s'échappent de la capsule par une série de lumières d'un diamètre limité qui empêchent leur expansion trop rapide. Le projectile est alors propulsé plus progressivement et le recul est moins brutal.

Les grenades lourdes sont stabilisées par rotation, provoquée par les ceintures serties sur la circonférence du projectile.

Le détonateur est armé par la rotation du projectile, ce qui empêche la grenade d'exploser avant d'avoir parcouru une quinzaine de mètres environ.

Tout comme pour les grenades à fusil, certaines grenades lourdes sont munies d'un système de mise à feu déclenchant la munition à l'impact.